dimanche 7 février 2016

Après un dîner en groupe hier soir, nous décidons que la journée d’aujourd’hui est « free ». C’est à dire que chacun fait son propre programme de tourisme sur la journée. Pas de déjeuner en commun qui couperait les activités.
Voici un extrait des occupations:
-René, Chantal et André ont fait des courses dans une superette qui est assez éloignée du centre-ville (Queenstown est une ville « chère »). On a trouvé du gigot et  on a préparé le pique nique de demain
-puis on s’est dispersé, notamment en vue des achats familiaux.
-Bernardo et Mimi sont allés déjeuner (avec une spécialité au dessert que Bernardo connaît bien; il a son fils et sa belle-fille à Auckland)
-Michou a fait des achats
-Roger et Nicole sont allés faire une croisière sur le lac
-Bernard a choisi le « saut à l’élastique ». Il est rentré vivant et en forme (saut de 43m; bravo Bernard)
-etc
Ce soir Gigot d’agneau, pâtes (on n’a jamais trouvé en NZ de haricots blancs; toujours des « beans » à la sauce tomate. Dessert : crème aux oeufs préparée par Chantal)

 Queenstown, vue générale depuis le téléphérique

 une  mouette dans le port

 repos dominical sur les berges du lac

Queenstown est la capitale des sprts extrèmes et notamment du saut à l’élastique dans lequel s’est illustré aujourd’hui, Bernard (diplome)

Pour montrer au lecteur le bon ordre des auberges de jeunesse, voici les cuisines de celle de Queenstown; le reste (sanitaires, laundry est à l’avenant)

samedi 6 fevrier

Wanaka ->Queenstown

  

6 février, jour férié en NZ; Arrivée à Queenstown
Départ de Wanaka à la fraîche en raison d’une météo « chaude »
Au programme, un col à 1078 m qui constitue le sommet « routier » de la NZ.
Négocié par des ‘pros », il n’a pas constitué une difficulté insurmontable.
Descente assez vertigineuse mais bcp de faux plats en fin de parcours à l’approche de Queenstown.
Grosse circulation mais nous sommes bien protégés par les bas-côtés assez larges sur la partie très chargée.

Vendredi 5 fevrier

 Makarora->Wanaka 75 km 

s.

On attaque un parcours majoritairement en descente avec vent favorable
Le trésorier qui conduit à ce moment là le camion l’arrête judicieusement devant un café où on boit un très bon cappucino. Ca y est le temps et le moral sont revenus au beau fixe
Une anecdote: André reprend la route mais en tandem et garde la clé du camion sur lui. Sadia, qui est à ce moment dans le camion ,  fait du stop, rattrape le cycliste et récupère les clés. Le chauffeur de la voiture ramène gentiment notre Sadia jusqu’à notre van!

Le paysage change radicalement: nous sommes maintennant dans une zone sèche: les herbages sont brûlés par le soleil (plus de « bush » luxuriant comme celui que nous avons parcouru à pied hier soir).
Nous longeons le magnifique lac Wanaka puis le lac Hawea.

Nous croisons pas mal de cyclistes. Il y a vraiment beaucoup de français en NZ dans les lieux touristiques, En particulier; beaucoup font des séjours de plusieurs mois et trouvent des emplois pour financer leurs séjours. Ils ont l’air très appréciés. Donc, les français sont de loin les plus nombreux si on excepte les chinois qui « séjournent » en groupe avec lesquels la communication n’est pas si facile. Quelques allemands. (On a vu une allemande hier dans le froid sauter d’une passerelle de 7m au dessus d’un « blue pool » (creux d’eau naturel-t° de l’eau 7 à 8 °; courageuse la fille; c’est cela pour beaucoup la NZ: des défis personnels à relever.
Demain, Queenstown: col à 1078 m. Route certainement sportive. Il ne faudra pas partir tard à cause de la chaleur (le col est au 3/4 du parcours. ce soir couscous à l’auberge  de jeunesse; Roger offre l’entrée (saumon).

Le paysage change

Jeudi 4  février
Haast->Makarora 75 km à peu près

A Haast, nous étions ennuyés par les moustiques (« sandflies »). Nous sommes dans une région très humide à la végétations luxiriante; notre route suit un parcours le long d’une vaste rivière alimentée par les nombreuses chutes d’eau de la montagne. La vallée est parfois encaissée. Après 40 km environ nous attaquons la montée appelée « Haast Pass ».
Bernard L doit bien gérer son alimentation; cela se passe très bien.
Le van fait des « regroupements » tous les 10 km.
La météo est plus que médiocre: averses de temps en temps.
Nous parvenons néanmoins d’assez bonne heure au « DOC campside que nous avions prévu. Il pleut mais heureusement, il y a un abri que nous utilisons pour faire le dîner.
Les « sandflies  » mettent la gomme et le moral en prend un petit coup.(certains sont gênés pendant leur sommeil)

mercredi 3 fevrier 2016

 Paringa  Lake ->Haast

c  

trajet assez court (50km). Comme nous allons dans un camping « top Ten », Nous faisons le trajet sur la matinée de manière à profiter des équipements (cuisine-lessive)
Le temps est toujours très beau mais des esprits chagrins annoncent un possible changement demain.

2  février 2016

Franz Joseph Glacier   -> Paringa  Lake

Cliquer sur photos et cartes pour agrandir

dimanche 31 janvier

« cliquer sur les cartes pour agrandir les itinéraires »

lake Lanthe->Franz Joseph Glacier

Un bon « 80 kms ». Pas de grosses difficultés (on commence à être entraînes). Beau temps. On se couvre la peau de crème « +50 » pour éviter les coups de soleil.
L’étape se déroule sans réelle difficulté; pour la première fois, aucun inconvénient mécanique (crevaison, saut de chaîne, etc.)
Le paysage est somptueux. Nous avons sous les yeux les « Alpes » (c’est le nom de la chaîne de montagne) avec souvent une vue sur le sommet qui est le « Mont Cook » (3750 m à peu près).
Notre parcours sinueux se situe entre la montagne et la mer. Le terrain est le plus souvent assez  plat est marqué de temps en temps par des côtes; le plus souvent, pas méchantes mais quelquefois un peu brutales; ce qu’on appelle en France « un coup de cul »; pas d’affolement; on se la monte tranquillement.
C’est une bonne préparation car après Wanaka, il y a sans doute des cols plus redoutables. On verra.
Pour la circulation: nous avons les gilets jaunes; en général nous sommes espacés; nous avons toutefois remarqués que, même s’il ne vient pas de voitures en face, les NZ ont tendance à ne pas franchir la bande jaune et donc à nous serrer un peu. Mais ça va! Selon d’authentiques NZ, ceux-ci ne sont pas d’excellents conducteurs; nous laissons à ceux qui nous ont prévenus la responsabilité de leurs propos.

 Nous sommes arrivés cet après-midi Dimanche 31 janvier  à FRANZ JOSEPH GLACIER. Plus de problèmes mécaniques. Nous avons fait étape hier dans un « DOC », terrain de camping basique près d’un lac magnifique où nous nous sommes baignés  « Lake Lanthe ». Ce matin nous avons repris la route vers FJG. Pas de grosses difficultés. L’auberge de jeunesse est remarquable; l’ambiance toujours parfaite. Le niveau de performance s’améliore constamment. Sabine doit rassurer car Bernard est très performant. Maryvonne ne doit pas s’inquiéter; son mari est souvent « devant ». Bernardo fait une équipe impressionnante avec Mimi. Roger est épaté des performances de Nicole….Tout serait pour le mieux si on n’avait pas été « bouffé » par des petits moustiques hier soir près du lac.

Demain Lundi, journée étape à FJG. 

Amicalement

Lundi 1er Février Franz Joseph Glacier
Journée « de repos »

Matin: équipe autour de l »économe »: achats pour 4jours et menus (spécialement Chantal et André).
Pour donner une idée : il faut 16 pains coupés « Whitebread », 10 laits, 60 oranges, 48 pommes, etc etc
Un groupe se dirige vers le glacier distant de 1 heure à pied, mais sans aller au pied du glacier.
3 personnes (Michou, Bernard, et René) vont au pied du glacier. On ne les reverra que dans l’après midi
Lessive (Sadia) etc

« cliquer sur photos pour agrandir »